Jacky KOOKEN
e-mail : kooken.ja@free.fr
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Wanted – Avis de recherche

 1 -Le mystère de l’hercule de Michel-Ange dérobée.

 2 -Mes prochaines expositions et exposition en cours.

 3 -Liens amis et  sites amis.

  4 -Grandeurs et misères SuBréalistes des artistes.

 5 -La SuBréalité de l’art institutionnel  Français

 6 -Le paradoxe SuBréaliste du temps amoureux.
 
 

  1 -Le mystère de l’hercule de Michel-Ange dérobée.

Comme vous pourrez le vérifier dans toute monographie de Michel-Ange, rubrique œuvres perdues,   vous trouverez une œuvre de jeunesse  nommée Hercule , sculpture en marbre de 2 m 52 de haut, taillée vers 1493, acquise par la famille Strozzi qui la vendit en 1529 à Giovanni Batista Della Palla, pour le compte de François 1er.
 

Elle fût placée sur un piedestal et installée dans le jardin d’Estaing à Fontainebleau.  Le jardin fut détruit en 1713  en vue de l’agrandissement de la cour de la Fontaine. Date à laquelle nous perdons la trace de la statue réputée  perdue ? ?
Il n’y a que des critiques d’art plongés dans leur connaissances livresques, pour  penser qu’une sculpture en marbre de 2 m 50 de haut pesant plus de  2 tonnes ( densité 2, 9) puisse s’évanouir dans la nature et se perdre ! ! ! !
Le marbre ne peux être recyclé  et transformé en canons ou en glaives comme le furent de nombreuses sculptures en Bronze ! ! !
Ni le temps, ni les séismes ne parviennent à réduire à néant ce qui a été taillé dans le granit ou le marbre pour preuve : En 1995, Jean-Yves Lempereur directeur du centre d' Etudes Alexandrines a remis à jour et sortie de l'eau de nombreuses sculptures, vestiges du phare d'Alexandrie (-290 av JC). Parmis les pièces les plus spétaculaires, un colosse de granit et plusieurs sphinxs en marbre. Ces oeuvres reposaient dans la mer  depuis le 14ème siècle, date de la destruction du phare à la suite de séïsmes successifs....

Un inventaire de 1707 décrit l'Hercule de Michel-Ange :
« une figure de marbre blanc de six pieds dix pouces, représentant un Hercule qui tient dans sa main droite une massue, ayant sa main gauche, appuyée sur la hanche et l’épaule et le bras couverts d’une peau de lion dont la chute depuis la main jusqu’aux pieds »

                                        Hercule. Dessin de Rubens. (Louvre)
                        D’après l’Hercule de Michel-Ange selon Charles de Tolnay.
 

Dans l'attente d'une nouvelle affectation, cette sculpture emballée, transportée sur un chariot sommeillait à l’abri dans une écurie.... Combien de temps y resta t'elle avant d'être volée ?
 La tentation était  forte pour un amoureux du  divin Maître de faire atteler le chariot et de dérober l’œuvre...

L'Hercule doit être jalousement gardé et admiré à présent au rez-de-chaussé   (pour cause de poids) d’un hôtel particulier ou d’un manoir ou château de famille,  peut être dans une bibliothèque ou une pièce privée loin des regards indiscrets.
 Bien qu’il  y est depuis longtemps prescription, c’est sans doute un secret de famille les mieux gardé du monde et pour cause.
Sans doute l’hercule n’est plus en France ; retour en Italie dans un palais Vénitien, en hollande en Grande-Bretagne, ou peut-être en Espagne ? ? ? ?
Les recherches s’avèrent vastes et incertaines : Il faudrait rechercher tous les courtisans  européens ayant séjournés entre 1713 et 1715 à Paris.
Historiens d’art , étudiants  et  amateurs de mystère au travail ! ! ! !.
 
 
 

 2 - Mes prochaines expositions et expositions en cours.
 

Exposition en Permanence
d'une quinzaine de mes sculptures.

Galerie ROBAIN
Ancienne Galerie Nithael 54

Du Lundi au Samedi de 15 h à 21 h
sur rendez-vous uniquement

Cette galerie d’art, située à l’entresol, est couplée à l'agence d’architecture du rez-de-chaussée de Jean-Marc Bize.
Des synergies avec l’architecture sont possibles en inclusion de cariatides ou d’atlantes voir de sculptures monumentales.

Galerie Valérie Robain
8, rue de Bizerte
75017 PARIS
M° Place Clichy
TEL : 01 44 90 02 03 - 06 20 59 48 51
email : bize@nerim.net
 


 
 

3 -Liens amis et  sites amis.

http://www.nicolasceloro.net
Pianiste virtuose de grand talent, fils spirituel de Georges Cziffra qui avait reconnu en lui "...un virtuose étonnant allié à un musicien aussi raffiné que profond..."

http://www.cosette.com.fr
un site plein de poésie, d’art et de découvertes.

http://www.unregardunenfant.org
Association humanitaire qui redonne le sourir aux enfants.

http://www.francesculpture.com
le site incontournable de la sculpture et des sculpteurs

http://www.artmajeur.com
Un autre concept novateur de galerie d'art virtuelle accueillant Peintres, Sculpteurs, photographes .....

http://www.atelier-z.org
Le centre culturel C. Peugeot  est ouverts à toutes les formes d'art et de culture, il soutient un mouvement, le SuBréalisme. (voir mon mémo)

http://www.lemague.net
Journal Foisonnement d’infos culturelles dirigé par Frédéric Vignale,  Photographe et réalisateur de courts métrages « … Doisneau du 21eme siècle (mais en plus jeune, moins mort et plus désirable) ».
 

4 Grandeurs et misères SuBréalistes des artistes.

Le talent est une mystérieuse équation de don pur, d’éducation, de volonté obsessionnelle de création.

Ceci établi, la part prépondérante  de l’inné ou de l’acquis dans la formation du destin d’un artiste est un débat qui n’est pas prêt d’être tranché :
Une graine féconde ne peut pousser dans le désert, une autre rabougrie peut néanmoins se développer dans un terrain riche sans pour autant produire de fruits exceptionnels. Mozart serait-il entré dans l’histoire de la musique s’il avait été fils d’un boucher ? Une graine exceptionnelle dans un terrain favorable ne protège pas pour autant de la grêle et de la destruction on ne peut donc présumer de rien et nombre d’enfants prodiges n’ont pas eu la carrière que leur jeune talent promettait, émoussés devant la difficulté de se réaliser.

Ainsi certains artistes nés avec une cuillère d’argent dans la bouche, cumulant les dons, les parrainages, l’assurance et le charme, se sont perdus dans  le labyrinthe de la  facilité en touchant à tout, tout en ne se fixant sur rien.

« Etre doué c’est se perdre, si l’on n’y voit pas clair à temps pour redresser les pentes et ne pas les descendre toutes. »
Jean Cocteau - La difficulté d’être

D’autres artistes besogneux ne réussissent pas mieux pour autant. Il n’y aucune causalité entre le travail, la réussite et le talent.

Ce qui est sûr c’est que le don seul ne suffit pas, comme le travail seul ne peut suffire il faut l’amalgame des deux pour faire œuvre, saupoudrer d’un soupçon de chance et vous obtiendrez la réussite.
La réussite, c’est de produire une œuvre qui correspond à la demande au bon endroit au bon moment ; ce qui est souvent déterminant :

- avant,  l’artiste est un précurseur incompris, un artiste maudit qui fera plus tard la fortune des marchands charognards.

- après  l’artiste est un suiveur ringard…

Cela étant, mieux vaut  être artiste riche et célèbre, en bonne santé plutôt que méconnu pauvre et malade.

Il est une troisième catégorie d’artistes dont la particularité est de produire épisodiquement, en dilettante, sans passions ni message, des œuvres à vibratoire SuBréaliste quasi inexistantes?
Il serait illusoire d’y chercher quelques effets esthétiques ou autre intentions poétiques ou intellectuelles.
Ces œuvres sont des alibis ou plus spécifiquement des masques d’artistes, permettant de doter leurs auteurs d’un statut social d’artiste, justifiant une profession.

 Ces artistes souvent issus de familles aisées vivant de revenu  financiers (actions, dividendes, locations  de biens immobilier etc….) exposent une toile ou deux au Salon des indépendants ou dans une galerie loueur de mur, justifiant ainsi, vis-à-vis de leurs relations diverses et variés de leurs statuts sociaux. Peu importe de vendre ou pas, l’important est d’être et d’exister en tant qu’artiste.

Traditionnellement les jeunes filles de bonnes familles dont la vocation étaient de faire un beau mariage sans préoccupation de revenu stable,  étudiaient les beaux arts en attendant de convoler en juste noce à un jeune homme, future capitaine d’industrie, de même milieu, mais au cursus plus sérieux (Grandes écoles, Polytechniques, Mines etc…)
Cette situation institutionnelle a longtemps porté ombrage et mauvaise réputation aux femmes artistes issues de ces milieux privilégiés, alors qu’il n’y a pas de cause à effet.

Il n’est pas indispensable d’être un artiste maudit pour avoir du talent ni d’être issu de milieu favorisé pour ne pas en avoir.

Dans la même mouvance mais issus de familles prolétaires, n’ayant pu supporter les contraintes d’un métier salarié, certains autres utilisent ce même alibi pour se faire entretenir d’abord par leur parents puis ensuite par leur conjoint ce que j’appellerai sponsorisation privé intime.
Ce sponsoring intime est socialement et généralement bien admis lorsqu’il concerne une artiste femme. Lorsqu’il s’agit d’artistes hommes « vivant au crochet de leur femme » le jugement public est souvent  sévère et très critique. Ici le sexisme joue à contre emploi.

 Dans la plupart des cas ce ne sont pas des femmes riches qui entretiennent par  amour leurs compagnons artistes, mais souvent des fonctionnaires ou professions stables (secrétaires, comptables, juristes …etc). Le nombre de professeurs des écoles qui subviennent aux besoins du ménage sont légion, que leur maris soient artistes plasticiens, thêatreux, ou musiciens.

Dans le même sillage il y a tous ceux qui n’ayant pas la chance d’avoir une aide privée  font appel at vitam aeternam à ce que j’appellerai le sponsoring  social et public en se contentant d’un RMI et d’aides sociales diverses et variées pour vivoter à leurs rythmes idéalement en province où la vie est moins chère.

Avec ce statut social la plupart disent vivrent de leur art, de fait c’est faux…
Rares sont les artistes  qui admettent vivre grâce au RMI ou aux salaires réguliers de leurs femmes, leurs ventes étant pourtant si aléatoires et soumis aux incertitudes du marché de l’art.

Enfin, la dernière catégorie de créateurs, la plus importante, est celle qui s’est adaptée à nos sociétés capitalistes où les mécènes se font rares, les vocations d’artistes pléthoriques dans un marché de l’art non extensible à l’infini.

Par réalisme, pour créer en toute liberté, de nombreux artistes préfèrent gagner sa soupe dans un job annexe plutôt que de faire de la soupe dans un art commercial décoratif.
Ici se trouve la  grande majorité des artistes contemporains, qu’ils soient besogneux ou artistes aux talents rayonnants, ils ont tous recours à un emploi alimentaire à temps partiel qui leur permet de subvenir à leurs besoins vitaux.
Ici les professeurs d’art sont nombreux, (César comme d’autres artistes renommés ont assurés leur avenir en professant aux beaux arts.
Autres jobs alimentaires : décorateur, peintres en bâtiment, publicitaires, gardiens de musée, veilleur de nuit, intérimaires, infographiste, informaticiens, garçon de café etc… A défaut d’être passionnant ces emplois partiels ont la vertu de remplir le frigo.

A ceux qui affirment qu’un job alimentaire est incompatible avec leur création, qu’ils ne peuvent se concentrer après une demie journée de travail, je leur dirais :

- la passion trouve toujours les moyens de création cependant que le doute trouve toujours des excuses pour l’inaction.

Quel plus bel exemple  que celui du génial Michel-Ange qui en 1553 à 78 ans était architecte en chef de Saint Pierre de Rome, chargé à plein temps à cette tâche gigantesque qui à fortiori n’avait rien d’alimentaire mais tout du passionnel.
Tiraillé par son désir obsessionnel de sculpteur, il rognait sur son sommeil pour tailler le marbre. Dormant que quelques heures, habillé et botté pour être à pieds d’œuvre au milieu de la nuit, Il s’était confectionné un chapeau en zinc, formant bougeoir, lui permettant sculpter de nuit à la lueur des bougies.

A cette époque, l’objet de ses insomnies était une sculpture des plus religieuse et mystique de son oeuvre, l’une de ces dernières piétas dit jadis « la mise au tombeau » destiné à sa propre tombe. Véritable autoportrait au cœur du fameux groupe sculptural,  il s’était représenté sous les traits de Nicodème figure centrale à la SuBréalité puissante,  un hymne religieux cristallisé dans le marbre où Michel-Ange en supportant le poids du Christ se fond dans la communion et la douleur de Marie.

Le destin qui l’avait jadis éprouvé  dans la pharaonique commande du tombeau de Jules II qui se solda en véritable tragédie par un projet peau de chagrin, ne le favorisa pas plus, pour l’édification de son propre tombeau.
Après plusieurs années d’efforts nocturnes, il venait enfin à bout de la taille de ce bloc de 11 tonnes de marbre de carrare débuté en 1547, il achevait son groupe en approfondissant les expressions à la gradine (ciseau à dents) dégageant son groupe de l’ultime peau de marbre, lorsqu’il découvrit sur la tête d’une de ses figures, une tâche de silice noire.


Piéta da Santa Maria del Fiore
H 2m34
Ce coup du sort  en phase finale de  création est un crève-cœur insupportable pour tout sculpteur. Tout ce qui a été écrit sur ce drame et sur sa furieuse colère qui faillit être fatale à sa sculpture n’est pas crédible.

Pour avoir vécu un coup du sort semblable bien que s’agissant d’une modeste sculpture en granit, terminée le jour d’une fête religieuse... Or en ce jour de recueillement et de prière, la création artistique est prohibée, en rage contre moi-même,  j’imputais naturellement ce manque de réussite à une sanction divine.

 A mon sens,  Michel-Ange, dans le même esprit, a pensé avoir été puni  par manque d’humilité, en s’affichant pour l’éternité au coté du Christ. Il fût si mortifié par ce châtiment céleste qu’il en abandonna définitivement la  finition et d’un geste de suprême désespoir cassa à coup de massette la jambe de sa statue.
Par bonheur, celle-ci fut conservée religieusement par son fidèle intendant et fût restaurée bien après la mort du Divin Maître.
On peut admirer ce groupe pathétique d’émotions sous la coupole de la cathédrale de Florence.
 

5 La SuBréalité de l’art institutionnel  Français

Voici plus de 30 ans que l’art en vogue d’alors a été couronné par les institutions Française comme art  contemporain incontournable, figeant son choix  dans une résurgence d’art académique  Français version conceptuel - minimaliste.

«La peinture académique, émanation directe des règles strictes du classicisme et du néoclassicisme, constitue en quelque sorte l'antithèse exacte de l'art contemporain mais avec toutefois un point commun de taille, celui d’être ou d’avoir été soutenu par des institutions. Et une différence d’importance :
- l’adhésion du public pour la peinture académique mais son rejet ou son ignorance de l’art contemporain. Le parallèle entre la situation des artistes officiels d'aujourd'hui, c'est-à-dire les "conceptuels - minimalistes", avec ceux de la Troisième République, les "pompiers", est devenu incontestable et l'on peut parfaitement penser que cet "art contemporain" connaîtra lui aussi un discrédit. »
Marc Verat
Ce texte prémonitoire qu’avalisera la nouvelle vague figurative des galeries Londoniennes sera suivi au début de ce siècle  par les galeries Parisiennes avec plus de 10 ans de retard.

Seule l’exception française a persévéré à soutenir ces « Pompiers minimalistes » en continuant de doper ce marché devenu fictif,  à doses d’achats institutionnels  des Drac, Frac,  en totale déconnection du marché réel international  de l’Art  et des collectionneurs privés.

Les galeries suiveuses parisiennes non subventionnées par les achats publics mais soutenues par cette mode étatique  avaient poussées comme des champignons rue Quincampoix et rue Keller à Paris dans les années 1980 – 1990.

 Le krach de la spéculation de l’art moderne et contemporain  après la guerre du golf (1991) à sonné le glas de cet engouement. Les collectionneurs ont commencés à douter de la vraie valeur  de leur collection, basé sur un discours conceptuel, clef de voûte et justification de l’œuvre même. Cependant  que La plupart des galeries historiques parisiennes se félicitaient de l’épuration du marché des concurrents opportunistes des années fastes, elles n’ont pas senti la mode s’inverser et se sont révélées incapables de remettre en cause leur choix,  trompées par les directives de l’art institutionnel  Français de cette période c'est-à-dire l’art minimaliste et conceptuel.
En pénurie de collectionneurs, elles se sont épuisées en espérant des jours meilleurs, elles ont été finalement  décimées. Les galeries du quartier Saint germain des près qui encadrent l’Ecole Supérieur des Beaux-arts se sont montrées  plus pragmatiques, beaucoup se sont reconverties dans le commerce de l’art premier.

 Tandis qu’à Londres les collectionneurs  Lassés des discours pontifiants, placebo d’une œuvre fantomatiques ont incités de nombreuses galeries à rechercher un art construit auto- démonstratif composé d’une émotion visuelle ou tactile dans une nouvelle dimension sacré et païenne  révélé par la technique traditionnelle de peintre ou de sculpteur.

En France, l’Etat providence ne pouvait à lui seul  être l’unique collectionneur comme l’avaient rêvé certains utopistes.
Après la 2ème guerre mondiale, avec les  nationalisations des Banques, de l’industrie lourde, il était logique que l’art soit aussi quasiment nationalisé dans le giron du nouveau ministère de la culture. Ce système a permis à la France de relever sa culture avec son économie,  d’entreprendre de grands travaux architecturaux, de générer des commandes monumentales publiques, de développer le 1/%à la construction dévolue à la création d’œuvres d’art dans les bâtiments publics ou les sociétés nationalisées.

« Le choix du prince » lorsqu’il était impulsé par une personnalité aussi cultivée et clairvoyante que Malraux s’est montré très positif pour le rayonnement pluriculturel de l’art Français.

Avec les dénationalisations industrielles et bancaires, le ministère de la culture s’est trouvé orphelin et coupé de ses commanditaires attitrés. Ayant perdu son fondateur charismatique  historique, il devint un Portefeuille ministériel de parade, barricadé derrière ses fonctionnaires et autre chefs de cabinet. Tour d’ivoire d’une féodalité artistique étatique qui a produit son corollaire d’inertie, d’immobilisme, d’abus, d’artistes protégés (les pompiers minimalistes), de passes droits,  ainsi que sa liste d’artistes exclus persona non grata ( les artistes figuratifs).

Dans ce contexte, il est logique que l’art en France soit resté sur le quai pendant que la figuration reprenait ses droits sur les places internationales de l’art.

Le bilan de cet entêtement Féodal pour cette  mode étatique est catastrophique :   La France avait perdu sa place de leader d’art contemporain dans le monde, elle perdit également sa primauté en Europe au profit de la Grande Bretagne.
Les chiffres du marché de l’Art sont à ce titre éloquents : les Américains représentent 46,95 % du marché mondial de l'art, en hausse de 7 % entre 1998 et 2001. Les Européens (les 15) 42,46 %, en baisse de 7,2 % dans la même période. Encore faut-il traiter la Grande-Bretagne à part, avec 25,28 % à elle seule (plus de la moitié du marché des 15), en hausse de 1,6 %. A titre de comparaison, le marché français ne représente plus que 7,58 % du total, en baisse de 20,8 %.

Dans les foires internationales inexorablement,   le vent tournait, et avec le vent, les critiques d’art qui jadis  encensaient ces «  pompiers minimalistes » se montraient de plus en plus virulent à l’encontre de ceux la même qu’ils avaient jadis adulés.

Enfin les derniers bastions de l’art «  pompier minimaliste  » ont fini par rendre les armes.
Ainsi la célèbre galerie Templon dont le directeur Daniel Templon, cofondateur du magazine Art Press, défenseur depuis 1966 de l'art minimal et conceptuel français et international a fait ces dernières années un revirement à 180 degrés en présentant des artistes  figuratifs talentueux à l’expression originale d’une dimension sacré retrouvée, étayée par un métier peinture –peinture à l’huile.
Pour preuve sa dernière exposition des toiles de Gérard Garrouste « L ânesse et la figue » de 2006 a fait un véritable tabac  par la vente quasi-totale de toutes les œuvres exposées. Ce qui par les temps de crise de l’art en France fût un véritable exploit.  Le changement d’axe pour sa nouvelle ligne figurative s’est avalisé par le succès de sa dernière exposition (juin –juillet 2007) du jeune peintre Berlinois Ulrich Lamsfus (Né en 1971) à la technique de peinture à l’huile remarquable.

Dans le même temps j’ai constaté que des œuvres conceptuelles éphémères se faisaient figuratives bien que le principe de leur sélection de l’académisme pompiers minimaliste resta le même : tout et n’importe quoi pourvu que ce ne soit jamais vu, jusqu’au nihilisme de l’œuvre, au profit d’un discours soporifique …

A la dernière exposition des acquisitions de la Frac Ile-de-France (2007) plusieurs œuvres conçues sur le même principe, une structure en poli éthane recouvert de mousse à raser qu’il convient de renouveler tous les 3 jours sous peine de déliquescence.. Tout cela pour donner l’illusion d’une sculpture de caniche blanc intouchable évidement.

On le voit bien ici, ce n’est pas la figuration, l’abstraction, le conceptuel - minimalisme qui est en cause, c’est surtout le support technique indispensable  à toutes expression artistique, à toutes œuvres pérennes et à l’adhésion d’un large publique. Le métier évident qui faisait la force de l’art académique des Bouguerau, Cabanel a fait  la faiblesse de la plupart de leurs homologues « pompiers minimalistes » contemporains.

Quel collectionneur se porterait acquéreur d’une œuvre aussi éphémère et fragile qu’un caniche - mousse à raser dont l’entretien demanderait le stock d’un grossiste ? Seul l’Etat qui n’est pas ici l’Etat mécène, mais bien l’Etat vieux protecteur version Feydeau trompé et  envoûté par l’hypnose culturelle d’une gourgandine aux allures de vielle sorcière, qui amasserait dans ses réserves, près de 30 ans de mauvaise verroterie. (Oeuvres dont l’histoire ne retiendra rien, ni l’émotion, la poésie ou la technique du savoir faire.

Prions pour que cette situation cesse, comme le souhaite le fameux sculpteur Ousmane Sow
« J’espère que le temps des artistes qui n’ont rien à dire et qui le disent très fort va se terminer »

Une page se tourne, les discours alibi prise de tête n’ont plus cours dans le marché de l’art international. Seuls certains « pompiers minimalistes » historique et emblématique  parviennent à limiter la casse.

Le métier au service de la poésie du rendu de l’émotion à la périphérie d’une dimension sacré, d’une idolâtrie plastique du beau et du bon du rayonnant a repris le pouvoir.

De nouveaux acteurs décisionnaires partisans de l’ouverture remplacent  peu à peu les fonctionnaires du ministère de la culture formé à l’école féodale des années 1980. De cette époque un certains nombre de lois en faveur de l’art contemporain dans le domaine privé se sont avérées inapplicables et inefficaces laissant les mains libres au monopole du mécénat de l’Etat providence.

Souhaitons que la nouvelle vague de décideurs persévèrent dans l’ouverture et les avancés fiscales au profits de la promotion de l’art. Leur premier fait d’arme est une avancée significative destinée aux entrepreneurs ( loi de 2005)  qui  assouplit les conditions d’exposition des œuvres d’art achetées par l’entreprise aux artistes vivants (amortissable sur 5 ans)…. Il serait vital  que cette mesure bénéficie d’une large publicité. ..

Au début du siècle dernier, rien ne pouvait émergé dans le domaine de l’art sans passer par Paris.  Mirage qui perdure dans le cœur de beaucoup  d’artistes du monde entier qui rêvent d’exposer en France à la recherche de la consécration suprême. Ce songe subréaliste nous amène une profusion de talents qui en touchant au but, se désespèrent devant la faiblesse du marché Français.
Pour remettre en adéquation l’offre artistique avec les collectionneurs privés, il serait idéal  de ramener l’amortissement linéaire actuel,  en amortissement dégressif sur 5 ans, ou encore de ramener à 3 ans cet amortissement linéaire.

C’est  une évolution  indispensable pour que la France retrouve son rayonnement au niveau de l’art contemporain et ne soit plus sous perfusion du seul Etat providence, les entreprises industrielles ainsi que les PME ont un potentiel immense d’acquisition  quasiment inexploité, leur rôle est déterminant dans l’émergence de nouvelles collections privées qui sera le gage d’une diversité artistique en  phase avec le marché international de l’art et des collectionneurs.
 
 
 

6 Le paradoxe SuBréaliste du temps amoureux

Chacun a pu s’étonné un jour de la rapidité avec laquelle le temps s’écoule dans la fusion lumineuse des cœurs et des âmes dans l’union amoureuse d’un homme et d’une femme.
Lorsque l’amour est partagé, et la fusion réussie, le couple est propulsé dans un espace intemporel ou le temps semble se dilater et s’étirer. Au sortir de cette « bulle lumineuse » l’atterrissage est parfois surprenant, le temps marqué sur l’horloge a fait un saut inattendu dans le temps terrestre impitoyable !!! Comment ??? Déjà. Que le bonheur est fugace !!!
Tout ce passe comme dans le paradoxe de Langevin, plus la fusion est lumineuse et réussie et plus le temps se dilate en s’approchant de la vitesse mythique de la lumière.
A 260 000 km/s le temps terrestre se divise par 2,  à 285 000 Km/s le temps est divisé par 3 …..
Comme quoi un nid d’amour peu se transformer en accélérateur de particules et en un phénoménale cyclotron SuBréaliste.
Avec l’ouverture du chakra du cœur, la technique, la plus approprié pour atteindre cette source de jouvence qu’est l’amour partagé est le Tantra sexuel ou le Tao de l’art d’aimer (voir annexe)

Le paradoxe de Langevin
Dans la relativité restreinte la contraction des longueurs et du temps a été vérifiée expérimentalement, plus une particule s'approche de la vitesse de la lumière, plus le temps passe lentement pour lui par rapport à un observateur extérieur.
 Équation pour le temps :
t' = t × ²?¯ 1-V²/C²
ou t’ est le temps sur terre
t le temps de la particule dans l’accelérateur
V : la vitesse de la particule
C : la vitesse de la lumière
La vitesse de la lumière est  de C = 299792,458 km/s. arrondi souvent à 300 000 km/s
Soit deux jumeaux de 20 ans, l'un reste sur Terre et l'autre part dans un vaisseau spatial qui voyage dans l’espace à 285000 km/s, si nous faisons abstraction du temps d'accélération et de freinage. Notre jumeaux resté sur Terre attend 50 ans avant que son frère revienne de l’espace..
La contraction du temps propre au jumeau cosmonaute le conduit à un trip spatial d’environ 15 ans. 1/2
Le calcul est limpide à cause des arrondis :
50 x × ²V¯ 1-285 000² / 300 000²
50 x × ²V¯ 1-812250… / 900 000…
50 x × ²V¯ 1 - 0,9025…
50 x × ²V¯ 0,0975
50 x 0,0975 = 15,612
Notre jumeau resté 50 ans sur terre, retrouve son frère à 75 ans (20+50) alors que celui-ci n’en aura que 35 ans ½  (20+15,6)

Annexe
SuBréalité de la fusion tantrique par le Tao de l’art d’aimer
et  le Tantra sexuel.

Petit traité pour générer un flux de vibrations positives dans le monde.
 

« Faites l’amour pas la guerre »
Ce slogan des années hippy est plus que jamais d’actualité, car c’est le moyen le plus efficace pour déverser dans notre pauvre monde triste et obscure, des flots de vibrations positives et lumineuses de joie, de bonheur et de sérénité. Les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, il est important que chacun d’entre nous produise du positif, du lumineux, source général de bien-être pour l’humanité.
Encore faut-il faire l’amour dans le rayonnement fusionnel d’un amour partagé, et sincère, dans le don total et généreux de soi.
Toute union sexuelle subies et non partagées, dont le seul but est la jouissance égoïste, déverse sur le monde une marée d’ondes négatives avec son lot de noirceur, de boue malodorante.

Pour atteindre les cieux et la béatitude, une méthode a fait ses preuves depuis plusieurs milliers d’années. Puisée dans le Tao chinois, le tantra Indou nous montre le chemin à suivre.
Pour autant ce n’est pas une recette de cuisine, mais un cheminement intérieur, une ouverture et une écoute de la femme dont le potentiel d’élévation doit être assemblé à l’énergie masculine pour produire un flux d’énergie positive bénéfique pour toute la planète. C’est l’effet papillon tantrique.

Le Tantra sexuel Indou tire l’essentiel de ces principes du Tao de l’art d’aimer d’origine Chinoise. Ces deux pratiques se sont mixées au Tibet.
Le Tao de l’art d’aimer ou "Tao de la Communion du Yin et du Yang" (yin correspond à shakti en inde, c’est l’élément féminin, le yang, shiva en inde est l’élément masculin).
La fusion dans l’acte sexuel de ces deux éléments est un facteur d’émission d’ondes positives dont l’univers à tiré sa création dans le big bang. Les principes communs essentiels dans ces deux voies (Tao et Tantra) sont de favoriser l’orgasme féminin par le contrôle de l’éjaculation masculine en déconnectant la jouissance masculine de l’éjaculation qui ne sont pas obligatoirement liés.
 La voie du Tantra n’est ni une philosophie, ni  une religion, c’est une technique de vie et de comportement. Cette fusion peut s’opérer de manière spirituelle dans le tantra blanc, sans rapport sexuel, par la seule force magnétique du regard, mais il demande une longue initiation et la direction d’un Manhan Tantrique ou gourou.

A la portée de nombreux couples, La volupté du Tantra rouge de l'union sexuelle, exerce le rôle de "levier" qui transcende les dualités dans « le lâcher prise » ou expérience paradoxale de l'unité ).  la rétention spermique accroît l'énergie sexuelle sous pression, comme la vapeur pour une locomotive, la portant  à l'incandescence puis à la fusion yin et yang.
Ici l'acte sexuel n'est pas un acte hygiénique, il est ressenti comme un don d’orgasme partagé ou une grâce qui s'effectue comme un acte sacré dans lequel l’homme et la femme sont Shiva et Shakti  (Yang et yin) à l’énergie et au magnétisme unifié, positif – négatif dans une entité complète, «réalisée» chacun ayant su intégrer ces deux énergies, en lui.
 Ces deux polarités magnétiques subissent le principe physique d’attraction et de répulsion.
Sacralisée, l'énergie sexuelle transmutée emporte le couple vers les plus hauts niveaux de conscience.
Les tantrikas (les adeptes du tantra) comme les Taoïstes  reconnaissent la supériorité des énergies d'essence féminine. Une citation du Tao précise :

Le masculin appartient au Yang.
La particularité du Yang est d'être aisément excité
Mais il bat aussi facilement en retraite.
Le féminin appartient au Yin.
La particularité du Yin est d'être lent à s'exciter
Mais il est lent aussi à être rassasié.
Wou-Hien
 

De fait l’orgasme féminin est considéré comme sacré car il touche le plus haut niveau de conscience et parcourt tous les chakras, du plus bas jusqu’au plus éthéré (sahasraha).
Alors que celui de l’homme, plus primaire, ne monte, en général, qu’au niveau du plexus solaire (manipura).
Néanmoins le plaisir féminin d’essence spirituel est bloqué à la moindre contrariété, et aucune technique, pas même celle du Kama soutra sera capable de rétablir le désir contrarié, ce qui n’est pas le cas pour l’homme qui est facilement consolable et réamorçable.

Orgasme profond et orgasme superficiel.
Le yin a cette particularité d’avoir deux niveaux de jouissance qui est symbolisés empiriquement par l’orgasme vaginal et l’orgasme clitoridien. La densité vibratoire du premier se rapproche de l’orgasme complet masculin dont il lui emprunte parfois la petite mort, alors que le clitoridien,  moins intense peu se répéter à plusieurs reprises. C’est à cette jouissance que correspond l’orgasme tantrique Yang (sans éjaculation).
En pratique, il convient de s’entraîner en bloquant l’urine en cours d’émission, de relâcher, de re bloquer et ainsi de suite, afin d’avoir la maîtrise de ce précieux muscle. C’est ce même muscle qui retient l’urine qui stoppe l’éjaculation. Laisser la jouissance nous envahir tout en retenant son sperme, c’est le secret du Tao de l’art d’aimer et du Tantra sexuel. Cette technique permet de prendre plusieurs orgasmes de suite en osmose avec la femme, tout en fusionnant de plus en plus intensément avec elle dans l’extase.
Participer au ressentir des émotions profondes de la femme dans son plaisir,  dans la sensation de pénétration, jusqu'à ne plus savoir qui fusionne avec l’autre et qui pénètre qui.

Au plus fort de la fusion de Shakti (yin)  et Shiva (yang), dans la communion cosmique lumineuse, l’homme ressent l’orgasme féminin comme si c’était le sien. C’est une expérience mystique étonnante et bouleversante pour un homme, que de ressentir ce raz de marée qui vous envahit et remonte toute l'échelle des chakras, du plus primitif au plus spirituel dans un orgasme aérien et lumineux.

Le Tao et le tantra ont découvert bien avant Einstein et son fameux E=Mc2 l’équivalence Energie  - matière et que toute énergie comme tout magnétisme se compose de yang (pôle positif) et de yin (pôle négatif). Toute matière comme tout être vivant possède ces deux énergies qui s’unissent et font de nous un être complet.

Toute ma quête qui suis masculin, est de reconnaître en ma maîtresse les qualités féminines de la Déesse Shakti, et également de laisser s’épanouir en moi ma part féminine yin. Pour ma Muse, il s'agit, de reconnaître sa part de Yang qui l’habite.
Le couple tantrique se rencontre sur trois niveaux de conscience: du plus instinctif, impulsif et  sexuel, en passant par le plan émotionnel du coeur, du sentimental jusqu'au plan des affinités idéalistes et spirituelles. L'amour tantrique équilibré se trouve sur ces trois plans pour atteindre la plénitude de l’extase.
Avec la confiance en soi, la confiance en l'autre, l’humilité, le respect, la tendresse, on cherche l’harmonie dans l’unisson vibratoire comme dans un duo chanté, c’est aussi le secret des grandes attirances magnétiques.

Bien sûr, qui peut le plus, peu le moins. Plus le yang (Shiva) vibre fort, et plus il pourra s’accommodé d’un yin (Shakti) à faible énergie. C’est le secret des gourous, Pour autant, l’harmonie est sublimé et conduit à l’apothéose lorsque les deux amants sont de même puissance vibratoire. Selon certain Maître Trantrika l’homme peu s’autoriser à un orgasme éjaculatoire tous les sept orgasmes féminins. De fait il n’y a pas de règle en la matière quand Shakti est repue de jouissances elle aime souvent conclure par une éjaculation de son amant comme un besoin viscérale de procréation ou  une assurance de repos extatique bien mérité…

L’union tantrique idéale recommande les positions supérieures de Shakti (yin) sur Shiva (yang).
Libérée de l’apesanteur, Shakti peut se mouvoir aisément et contrôler la pénétration. Se regarder dans les yeux dans la même vibration du regard, coeurs unit en un seul, respirations unis dans le même souffle, deux sexes unis.
Maîtriser le désir dans l'élévation spirituelle sacralisée pour que l'union sexuelle soit le levier le plus puissant pour accéder à la conscience divine.

Ceci posé, Chaque être est unique et ce qui fonctionne à merveille avec une femme peut  être inopérant avec une autre. Je renvoie le lecteur au Kama soutra et à ses techniques d’unions et de prémices, mais sachez qu’une femme peut apprécier profondément un cunnilingus appuyé, au rythme rapide, alors qu’une autre, au clitoris plus sensible, en éprouvera de la douleur, pareillement en ce qui concerne la caresse des mamelons. Tout reste une écoute, une entente, une adaptation, une harmonie dans l’unisson vibratoire des amants…
Moyen fulgurant, au résultat aléatoire si la fusion n’est pas trouvée, elle peut sombrer dans une copulation banale.
Cette énergie sous pression, ( kundalini) doit être canalisé vers le haut par les techniques de contrôle de soi - respiration, maîtrise de l'éjaculation et rétention séminale (jouissance à sec). Cette énergie kundalini doit s'élever de chakra en chakra,  pour atteindre le sublime  et radieux Chakra sahasrara qui siège dans le lotus aux milles pétales (situé au niveau de la fontanelle).

Entre le tantra rouge sexuel et le tantra blanc purement spirituel sans contact physique il y a une pratique médiane ou Shakti s’allonge sur Shiva, chacun enlaçant  la cuisse de son partenaire entre ses propres cuisses, c’est à dire que le sexe féminin se trouve contre le haut de la cuisse de l’homme, alors que celui-ci à sa verge contre la hanche de sa dulcinée. Joue contre joue, se caressant la nuque pour que les fluides circulent librement d'un corps à l’autre. Cette pratique prolonge l’union purement sexuel dans une béatitude qui pulse des vibrations positives dans l’espace. Ici le lâcher prise doit être total, pour que la fusion des Auras et des polarités soit rayonnantes. L’être primordial est retrouvé et le bonheur total.
Ici tous les chakras ou plexus nerveux communiquent entre eux  à des niveaux de plus en plus subtils et raffiné de notre conscience nirvanique en nous éveillant spirituellement pour atteindre cette plénitude d'amour des «êtres éveillés».

L’expérience tantrique est radicalement pragmatique il est question de chercher l’unisson vibratoire et la communion des polarités. A chaque couple de trouver le point de fusion. Chaque être est unique il n’y a pas de recette toute faite l’ouverture est essentiel. Par exemple le tantra rose que j’ai décrit plus haut peut être aussi utilisé en prémisses par un frôlement masturbatoire du clitoris sur la cuisse de l’homme de même pour la verge, sur la hanche de sa partenaire.
C’est une bonne méthode pour déverrouiller certaines femmes ayant subi des traumatismes sexuels et ayant une certaine appréhension devant la verge de son compagnon, cette technique peu dériver plus tard par un frottement masturbatoire directe sur la verge en remplacement d’une future pénétration, lorsque la peur aura fait place au désir. Laisser circuler les fluides et les vibrations librement, ne rien réprimer de ce qui engendrerai une frustration et les verrous sauterons un à un.

L’énergie primordiale et sexuelle est condensé dans la réserve magnétique du premier chakra.  Selon la tradition Tantrique, Kundalini, dort enroulée trois fois et demi sur elle-même, dans le 1er chakra, «Muladaha » à quelques centimètre au dessus du périnée. C’est cette réserve de magnétisme que nous utilisons quotidiennement dans nos vies. Elle circule jusqu’aux chakras les plus élevés s‘il elle ne rencontre pas de blocages.
Mal canalisée et si nos buts sont impurs, cette énergie peut être dévastatrice et nous  conduire à la mégalomanie, à la schizophrénie et l’hystérie... au dérèglement des sens, au lieu de purifier nos canaux subtils et nous élever à un niveau de conscience supérieur.
Les Maîtres du Tao comme ceux du Tantra se méfient du rapport sexuel annal réputé dangereux pour notre magnétisme. A mon avis il doit être pratiqué avec parcimonie comme la cerise sur le gâteau et non comme un plat principal. En effet nous sommes ici en prise directe avec le chakra source ou chakra racine « Muladara », réserve de magnétisme. La connexion est donc d’une intensité implosive extrême, sublime ou destructrice. L’homme et la femme doivent être totalement en phase pour ne pas perturber leurs magnétismes.  Peu de femmes sont vraiment annale, en générale ce sont des femmes clitoridiennes…
Soliman le Magnifique (1495-1566) écrivit à son épouse Roxelane la sultane dont il eut quatre fils. (Troisième femme dans la hiérarchie du harem de Soliman, elle supplanta ses concurrentes et devint l’éminence grise aimée et vénérée du souverain.)

« L’anneau est au doigt ce que les fesses sont à la verge, n’est-il pas ? »

Longtemps utilisé comme moyen de contraception, ou comme dérivatif, cette pratique secrète et interdite dans toutes les religions  était tombée en désuétude avec l’avènement de la pilule.

Depuis la diffusion des films pornographiques dans le grand publique, c’est hélas devenu pour les jeunes générations une pratique obligée à chaque rapports sexuel, ce qui est une hérésie. En cas de réelle entente des amants elle peut en effet être un sommet, qu’on ne doit pas pour autant franchir tous les jours. Une préparation est nécessaire ainsi qu’une bonne lubrification, ce ne doit pas être un acte de soumission mais une communion cosmique intense mais rare ou la femme peu y atteindre un orgasme particulièrement violent par une masturbation clitoridienne simultanée…

 En ce qui concerne les rapports homosexuels. Il ne peut y avoir d’osmose des magnétismes de même polarité qui en principe se repoussent. La polarité, qui est une donnée essentielle de l'esprit du tantra avec prépondérance d'une polarité sur l'autre, selon que l'on est de sexe masculin ou de sexe féminin..
C’est la partie yin prédominante de certains hommes qui permet de fusionner avec le yang de son partenaire. Néanmoins la fusion sexuelle annale est implosive et très rayonnante mais elle est très délicate à réaliser et peut se révéler dangereuse même entre un homme et une femme déphasés, entraînant des perturbations magnétiques qui conduisent à une totale hystérie voir à la dépression. Je ne saurais trop conseiller aux personnes homosexuelles de privilégier les autres modes de fusion comme la fellation et la masturbation mutuelle et de minimiser la fréquence des sodomies. Trop sollicité le chakra Muladaha entraîne un dérèglement des sens qui conduit vers un paroxysme des sensations masochistes suicidaires. C’est à mon avis, une des causes du taux très élevés des suicides homosexuels : de sept à douze fois plus nombreux que chez les hétérosexuels.

  Ainsi, Ceux qui privilégient la relation sexuelle tantrique avec l'utilisation de techniques de rétention séminale, mais sans communion mutuelle et vibratoire du chakra du cœur, tombent dans un échange érotique et spirituel satisfaisant mais instable. Seul l’ouverture vers l’autre composante, la recherche du plaisir à travers une osmose vibratoire commune, conduit à la félicité.
Avec l’ouverture du chakra du coeur (anarata), au milieu de la poitrine, filtre purificateur de nos émotions, de nos désirs, nous fusionnons avec l’autre à tous les niveaux de conscience, depuis le sexe jusqu'aux plans les plus éthérés. C'est le secret de la sadhana tantrique (cheminement spirituel tantrique) qui est une voie d'accès au divin dans ce monde de vie et d’action qui a tant besoin de lumière, d’amour, de beauté, de vibrations chaudes et positives.

Jeunes gens, vous en savez assez pour vous lancer, Avec un peu de bonne volonté et d’ouverture, chaque couple peu trouver sa voie tantrique et accéder avec la pratique à l’extase générateur de bonheur, pour vous et pour nous tous par l’effet papillon tantrique.

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